Quand on parle de Qualité de Vie au Travail (QVT), on pense souvent au télétravail, aux bureaux ergonomiques & aux horaires flexibles, mais rarement au parking d’entreprise. Et pourtant, pour bon nombre de collaborateurs, trouver une place de parking le matin peut devenir une source de stress quotidien.
Ironiquement, la gestion du parking est encore perçue comme un sujet secondaire, presque anecdotique, alors qu’elle touche directement à l’organisation, à l’équité et même à l’image de l’entreprise.
Au fil des discussions avec des responsables RH, des office managers & des collaborateurs eux-mêmes, un point revient souvent : « Le parking d’entreprise est un vrai casse-tête, mais c’est comme ça ». Cette résignation s’explique en partie par la persistance de certaines idées reçues.
Alors, faisons un peu de ménage ! Dans cet article, nous passons en revue les principales idées reçues autour du stationnement en entreprise, afin de les confronter à la réalité et d’ouvrir la voie à une gestion plus moderne (et plus équitable).
1. « Un parking d’entreprise, c’est juste un espace pour garer des voitures ».
C’est probablement l’une des idées les plus tenaces quand on parle de parking d’entreprise. On imagine un lieu purement fonctionnel, sans réelle valeur ajoutée. Mais, cette vision est dépassée (voire contre-productive).
Le parking est souvent le premier & le dernier point de contact physique entre un collaborateur & son entreprise dans la journée. Ce qu’il s’y passe (comme ne s’y passe pas), influe sur son humeur, son stress, sa ponctualité, voire sa perception de l’entreprise.
Une mauvaise expérience (manque de places, absence de règles claires, favoritisme perçu) peut générer de la frustration avant même que la journée de travail ne commence. À l’inverse, un système de stationnement fluide, transparent & équitable contribue à une meilleure ambiance de travail & à un sentiment de reconnaissance.
C’est aussi un outil de pilotage stratégique. Gérer un parking, ce n’est pas juste attribuer des places : c’est optimiser une ressource coûteuse (foncier, sécurité, entretien), adapter l’offre à la demande réelle, et anticiper les évolutions (télétravail, flexibilité, nouveaux usages).
Avec les bons outils (réservation à la demande, gestion dynamique, mutualisation) une entreprise peut maximiser l’utilisation de son espace sans forcément créer de nouvelles places.
✔️ Notre point de vue : le parking d’entreprise est un indicateur de la culture d’entreprise. Il reflète la manière dont l’organisation gère l’équité, l’attention portée aux détails, et sa capacité à innover sur des sujets concrets. Négliger sa gestion, c’est souvent le signe d’un pilotage déséquilibré. Le valoriser, c’est envoyer un message clair : l’expérience collaborateur compte.
2. « Premier arrivé, premier servi : c’est plus équitable ».
À première vue, cette idée reçue paraît séduisante par sa simplicité, mais elle ne garantit pas une vraie équité. Cela revient à dire, que la personne qui arrive la première bénéficie d’un avantage, ce qui paraît légitime dans de nombreuses situations (exemple : faire la queue pour un billet). Tout le monde a la même chance de se présenter en premier, donc, sur le papier, personne n’est favorisé.
Cependant, cette idée masque plusieurs réalités moins évidentes.
Premièrement, elle ignore les inégalités de départ entre les collaborateurs. Tout le monde ne peut pas arriver « premier » de la même manière : certains n’ont pas la flexibilité horaire, d’autres des contraintes familiales, des problèmes de transport, comme des situations de santé qui limitent leur capacité à se présenter à l’avance.
Dire que c’est équitable, c’est oublier que l’accès au « premier rang » n’est pas le même pour tous, et que cette règle favorise souvent ceux qui ont déjà un avantage social comme matériel. Ce système peut donc creuser les écarts plutôt que les réduire.
Qui plus est, cette méthode pousse parfois à une compétition inutile, où le but n’est plus d’obtenir ce dont on a besoin, mais simplement d’être le plus rapide. Cela peut créer du stress, de la frustration & des tensions entre collègues, surtout dans des contextes où les ressources (en l’occurrence : les places de parking) sont limitées.
Enfin, il faut souligner que l’équité ne signifie pas forcément appliquer la même règle à tous, mais plutôt reconnaître les différences & ajuster les critères en fonction des besoins, comme des situations.
✔️ Notre point de vue : Chez Sharvy, nous pensons que l’équité ne peut se résumer à une logique chronologique rigide. Ce principe favorise souvent les plus disponibles, pas forcément les plus prioritaires. C’est pourquoi, notre algorithme répartit les places de parking de manière plus juste, en tenant compte de l’historique d’utilisation du parking (60 derniers jours), des contraintes personnelles (femmes enceintes, personnes à mobilité réduite, etc) et d’un système de crédits. Ainsi, chacun a une chance réelle d’accéder à la ressource, selon ses besoins et non sa rapidité.
3. « Avec le télétravail, on a moins besoin de places de parking ».
En effet, si une partie des collaborateurs travaille depuis chez eux certains jours de la semaine, on pourrait penser que les parkings d’entreprise sont désormais largement sous-utilisés. Moins de monde sur site = moins de voitures = moins de besoin de places… en théorie.
Mais dans la réalité, les choses sont bien plus nuancées. Désormais, les journées de présence sur site sont souvent concentrées : les collaborateurs choisissent de venir au bureau les mêmes jours (souvent en milieu de semaine), ce qui provoque une forte affluence à certains moments, et un taux d’occupation très variable d’un jour à l’autre.
Résultat : certains jours, le parking est quasiment vide, et d’autres, il est saturé, avec des collaborateurs qui tournent longtemps pour trouver une place, et parfois repartent frustrés.
De plus, dans ce contexte hybride, les places de parking fixes attribuées à l’année ne sont plus adaptées. Une place peut rester vide pendant plusieurs jours, alors qu’elle aurait pu être utilisée par d’autres. On assiste alors à une forme de gaspillage de l’espace, ce qui n’est ni pratique, ni rentable, ni durable.
Enfin, il faut souligner que le besoin de venir en voiture ne disparaît pas avec le télétravail. Les transports en commun restent parfois inadaptés, coûteux & peu fiables selon les zones. Certaines personnes continuent de privilégier leur véhicule personnel, surtout quand elles ne viennent que deux jours par semaine et souhaitent optimiser leur trajet.
✔️ Notre point de vue : Le télétravail rend le parking d’entreprise plus complexe à gérer, et souligne l’absurdité de maintenir des places fixes, souvent réservées à des cadres & dirigeants, qui sont les plus fréquemment en déplacement, en réunion extérieure, comme en télétravail. Résultat : ces places restent vides pendant que d’autres collaborateurs peinent à se garer. Il est temps de passer à une gestion plus souple, partagée & équitable, où chacun peut accéder à une place selon sa présence réelle, et non selon son statut hiérarchique. C’est ce que permet la solution Sharvy !
4. « Il n’y a pas assez de places de parking, on ne peut rien y faire ».
Cette pensée traduit un sentiment d’impuissance assez courant dans les entreprises confrontées à une pénurie de stationnement. Elle repose sur l’idée que le problème est purement physique : s’il n’y a que 50 places pour 100 collaborateurs, alors il en manquera toujours.
Face à cette logique, on en conclut souvent qu’il n’y a pas de solution, à moins de construire un nouveau parking (coûteux, long à mettre en œuvre, et parfois impossible à réaliser selon les contraintes du site).
Mais cette perception oublie une réalité essentielle : le problème ne vient pas du manque de places, mais plus de leur mauvaise gestion. Dans de nombreuses entreprises, certaines places sont attribuées à l’année à des personnes qui ne viennent au bureau que deux à trois jours par semaine, voire moins !
Résultat : de nombreuses places restent inoccupées une grande partie du temps, alors même que d’autres collaborateurs tournent en rond pour se garer. Cette sous-utilisation du parking est très fréquente, et elle est souvent invisible, car les places sont « réservées » et non mutualisées.
Par ailleurs, l’absence d’un système de réservation & de suivi en temps réel aggrave la situation. Sans solution adaptée, il est difficile de savoir qui sera présent, qui a réellement besoin d’une place, et comment optimiser les disponibilités existantes. L’impression de saturation vient donc souvent d’une gestion rigide & opaque, pas d’un manque de places.
✔️ Notre point de vue : Dire qu’on ne peut rien faire est souvent une réaction face à un système rigide. Mais en réalité, une meilleure organisation permet de dégager des marges de manœuvre insoupçonnées. Le vrai défi, ce n’est pas seulement le nombre de places, c’est de faire en sorte qu’elles profitent à ceux qui en ont besoin, au bon moment.
5. « Réserver des places, c’est trop complexe à mettre en place ».
Cette peur est compréhensible : celle d’ajouter une couche de gestion & de technologie qui pourrait perturber les habitudes, comme alourdir le quotidien des collaborateurs & des services généraux. On imagine facilement un système lourd, chronophage, et difficile à comprendre, qui entraînerait des frustrations & des conflits.
Pourtant, cette complexité supposée vient souvent d’une méconnaissance des solutions existantes & d’expériences passées mal encadrées. Réserver une place de parking ne devrait pas être plus compliqué que poser une journée de congé.
Dans les faits, ce sont souvent les systèmes sans réservation (avec des places fixes & non partagées) qui génèrent le plus de stress & d’inefficacité. Les collaborateurs tournent en rond à la recherche d’une place, certains monopolisent l’espace, d’autres se sentent lésés. Ce flou alimente la frustration bien plus qu’un système de réservation.
Un bon dispositif de réservation repose sur 3 éléments clés :
- La simplicité (quelques clics suffisent).
- La transparence (chacun voit les disponibilités).
- L’équité (même pied d’égalité, pas de privilèges basés sur des critères subjectifs).
Ce n’est pas la technologie en soi qui est complexe, c’est la manière dont elle est pensée & intégrée dans les usages du quotidien.
✔️ Notre point de vue : Nous pensons que la vraie complexité, c’est de continuer à gérer les places de parking en entreprise sans outil, dans le flou, avec des conflits & des ressources mal utilisées. Un système de réservation bien conçu n’alourdit pas la gestion, il la rend plus fluide, plus juste, et plus sereine pour tous.
6. « La gestion du parking d’entreprise ne concerne que les services généraux ».
C’est une vision très cloisonnée des responsabilités dans l’entreprise. Certes, les services généraux (et services techniques/logistiques) sont souvent en charge de l’aspect opérationnel : entretien, sécurité, contrôle d’accès au parking… Mais réduire le sujet du parking à une simple problématique logistique revient à négliger ses impacts beaucoup plus larges, tant sur l’expérience collaborateur que sur la performance collective.
Le stationnement touche directement au quotidien des collaborateurs : arriver au bureau en stress après avoir tourné 20 minutes pour se garer, comme devoir partir plus tôt pour ne pas rater une place disponible, ce sont des irritants qui nuisent au bien-être, à la ponctualité, voire à la motivation.
Cela concerne donc tout autant les ressources humaines (QVCT), la direction (politique de mobilité), comme l’équipe RSE (optimisation de l’usage, incitation à l’alternatif).
La gestion du parking, surtout dans un contexte de télétravail & de flex office, devient donc un levier stratégique pour piloter l’organisation du travail, soutenir l’équité entre collaborateurs, et améliorer la fluidité au sein de l’entreprise.
En faire une affaire uniquement technique, c’est passer à côté d’une opportunité d’agir concrètement sur l’engagement & la cohérence des politiques internes.
✔️ Notre point de vue : Selon nous, la gestion du parking dépasse largement le périmètre des services généraux. C’est une question transverse qui touche à la mobilité, au bien-être, à l’équité & à l’optimisation des ressources. Elle mérite donc d’être portée aussi bien par les RH que par les responsables RSE & les directions générales.
7. « Il suffit de mettre un vigile & une barrière pour gérer l’accès au parking ».
Cette idée reçue simplifie à l’extrême une problématique bien plus complexe. Certes, un vigile peut contrôler les badges et une barrière réguler l’entrée, mais cette méthode est souvent chronophage & peu flexible.
Gérer manuellement qui peut entrer ou pas, vérifier les badges, gérer les oublis & les erreurs, cela demande du temps et génère parfois des tensions inutiles.
De plus, ce système ne prend pas en compte la réalité fluctuante des besoins : qui est vraiment présent ce jour-là ? Qui a réservé une place mais ne vient finalement pas (no-shows) ? La simple présence d’un vigile ne règle pas ces questions d’organisation, ni l’équité entre collaborateurs.
Aujourd’hui, des solutions plus modernes comme les caméras à reconnaissance de plaques d’immatriculation offrent une gestion beaucoup plus fluide & automatique.
Elles permettent d’identifier en temps réel les véhicules autorisés, sans intervention humaine, et d’adapter l’accès selon les règles définies (par exemple en fonction des réservations & des priorités sur l’application Sharvy). Cela allège la charge des équipes, réduit les erreurs, et améliore considérablement l’expérience utilisateur.
✔️ Notre point de vue : La gestion par badge peut rapidement devenir lourde & frustrante. Pour répondre aux enjeux actuels, il faut privilégier des systèmes intelligents, automatisés, comme la reconnaissance de plaques, qui simplifient la vie de tous.
8. « Un bon parking doit être rempli à 100% ».
À première vue, il paraît logique de penser que pour rentabiliser un parking, toutes les places doivent être occupées en permanence. Pourtant, cette idée oublie un aspect essentiel : un taux d’occupation maximal ne signifie pas nécessairement une gestion efficace & satisfaisante.
Un parking saturé à 100% peut vite devenir une source de stress & de tensions pour les utilisateurs. Sans aucune marge, la moindre absence comme retard, entraîne une pénurie immédiate, avec des collaborateurs qui tournent en rond à la recherche d’une place, perdent du temps, et finissent par abandonner leur véhicule ailleurs.
De plus, une occupation totale ne laisse aucune place pour des besoins ponctuels & spécifiques, comme les visiteurs, les partenaires & les urgences.
Par ailleurs, dans un contexte professionnel où la présence varie au fil des jours (télétravail, réunions à l’extérieur, horaires flexibles), viser systématiquement les 100% d’occupation revient souvent à ignorer la nécessaire flexibilité.
Une gestion intelligente privilégiera un taux d’occupation optimal, souvent autour de 85 à 90%, qui garantit à la fois une bonne utilisation des ressources et un minimum de fluidité pour les utilisateurs.
✔️ Notre point de vue : Nous pensons qu’un bon parking ne doit pas forcément être plein à craquer. L’objectif n’est pas de remplir chaque place, mais de permettre à chacun d’accéder facilement à une place quand il en a besoin, sans frustration, ni perte de temps. Mieux vaut une utilisation raisonnée & fluide qu’une saturation totale synonyme de stress & de conflits. L’enjeu est donc d’optimiser l’usage, pas seulement de maximiser le remplissage.
En conclusion
Finalement, de nombreuses idées reçues entourent la gestion des parkings en entreprise, souvent par méconnaissance des enjeux réels & par habitude.
Pourtant, ces espaces ne sont pas de simples lieux de stationnement figés : ils reflètent la manière dont l’entreprise organise son quotidien, prend soin de ses collaborateurs, et s’adapte aux évolutions du travail, comme le télétravail.
Plutôt que de voir le parking comme un problème insoluble ou un simple poste logistique, il convient de le penser comme un levier d’amélioration du bien-être, de l’équité & de l’efficacité collective. En adoptant des solutions intelligentes, comme Sharvy, il est possible de transformer cet espace souvent sous-estimé en un véritable atout pour votre entreprise & ses équipes.
Une question ? Consultez la FAQ suivante !
Pourquoi repenser la gestion du parking alors qu’il fonctionne « comme ça » depuis des années ?
C’est une question légitime : pourquoi changer un système qui semble fonctionner ? Justement parce qu’il fonctionne « comme ça » ne signifie pas qu’il fonctionne bien.
Pendant des années, les parkings ont été gérés de manière figée : places attribuées à l’année, priorité à certains statuts, peu de transparence. Mais le contexte a profondément évolué : télétravail, flex office, changements dans les mobilités (vélo, covoiturage, transport en commun, etc).
Aujourd’hui, garder un système inchangé, c’est souvent passer à côté de solutions plus justes, plus efficaces & mieux adaptées à la réalité quotidienne.
Par exemple, combien de fois voit-on des places réservées vides alors que d’autres tournent pendant 15 minutes pour se garer ? Combien de collaborateurs renoncent à venir en voiture parce qu’ils savent qu’ils n’auront pas de place, alors même que le parking est loin d’être plein ? Ces petits dysfonctionnements quotidiens génèrent de la frustration, un sentiment d’injustice, et parfois même des tensions entre collègues.
Repenser la gestion du parking, ce n’est pas tout remettre en cause, c’est simplement se donner les moyens d’adapter l’existant à des usages plus souples.
Un système de réservation ne risque-t-il pas de créer plus de frustrations ?
C’est une crainte compréhensible : on peut imaginer que la réservation de places crée de la compétition ou des déceptions. Pourtant, dans la pratique, un bon système de réservation réduit nettement les frustrations. Il apporte de la transparence : chacun sait à l’avance s’il aura une place ou non, sans avoir à tourner en rond ou à se demander pourquoi certaines places restent vides.
Ce type de fonctionnement repose sur des règles claires & partagées : priorités selon les besoins (PMR, horaires atypiques, covoiturage), équilibre entre les utilisateurs, historique d’utilisation…
Résultat : les conflits d’usage diminuent, et les collaborateurs se sentent traités plus équitablement.
Est-ce vraiment rentable d’investir dans une solution de gestion de parking ?
Oui, et c’est même souvent plus rentable qu’on ne le pense. Beaucoup d’entreprises sous-estiment le coût caché d’une mauvaise gestion du parking : temps perdu à chercher une place, stress accumulé en début de journée, tensions internes liées à un sentiment d’injustice, ou encore places inutilisées faute d’organisation. Tous ces micro-problèmes pèsent, au quotidien, sur la productivité & la Qualité de Vie au Travail (QVT).
Investir dans une solution de gestion de parking permet non seulement d’optimiser l’existant (sans forcément devoir construire de nouvelles places), mais aussi d’améliorer l’équité entre les collaborateurs, ce qui renforce l’engagement & le climat social.
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